Kourdak - un ancien plat kirghize

Type
Cuisine

Kourdak (en Kirghize "kour." - frite) – rôtie de la viande, des abats et des oignons. L'un des plats les plus populaires des kirghizes et des peuples turcs. Très savoureux et facile à préparer. Vos faites frire dans grasse de queue la viande et des abats (poumon, foie, coeur) de mouton avec des oignons et des épices.      

En règle générale, kourdak est préparé de deux cas contodictoires: si les invités sont pressés - propriétaires de maison préparent vite fait ce repas savoureux ; ou bien si les invités ne se sont pas pressés, l'abattage d'un mouton pour consacrer aux invités est accompagné d’un kourdak avant de servir le plat principal – besh barmak.                                                          

Pour préparer kourdak on utiliissait des différents types de viande: mouton, boeuf, viande de cheval ou même volaille. Dans la cuisine kazakh kourdak (en Kazakh - « kouyrdak ») est souvent préparé des abats et de la volaille, et parfois pour donner au plat plus de volume, on ajoute les légumes (la carotte, la pomme de terre, la courge), qui sont éteignes dans une petite quantité de bouillon épais. Kara Kourdak (en Kirghize - "kourdak noire") sans oignons est le plus facile à préparer et composé exclusivement de la viande.                

Tondurma kourdak (en Kirghize - "kourdak congelé") est une sorte de conserves de viande inventées par d'anciens nomades, qui utilisaient la graisse de mouton à titre du conservateur principal pour garder ou transporter de la viande. Des morceaux de viande sont frités dans une grande quantité de graisse sans contact avec l'air, qui assure la viande de rester frais pendant longtemps.          

Les nomades prenaient Tondurma kourdak aux marches de longue durée comme à la chasse, ainsi qu’ont mene le bétail sur les pâturages d'été et d'hiver. En outre, ce cuisson était souvent utilisé comme une base pour les premiers et second repas : en ajoutant des ingrédients nécessaires on peut préparer la plus parent des plats de la cuisine de l’Asie Centrale. Dans les conditions climatiques difficiles de hautes montagnes cette méthode de conservation est toujours utilisé par les bergers et les guides, accompagnant les voyageurs.